Oui, aujourd'hui, pas de points d'exclamations, parce que je vous parle de Nos étoiles contraires. Et même si ça fait plusieurs jours que j'ai l'ai lu, j'ai toujours envie de pleurer.
Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
Bon, je pense que vous avez vu des tonnes et des TONNES d'articles parlant de ce livre, du coup vous comprendrez que je fasse l'article complètement spoilant. Je veux juste me vider.
Pourquoi, pourquoi, pourquoi! Pourquoi lui!
Je vous jure, je suis ne train de me retenir de pas pleurer en ce moment même, mais vraiment pourquoi lui!
En plus, Augustus était censé être hors de danger, mais non Monsieur Cancer en a décidé autrement.
Il était tellement gentil avec ses méthaphores, ses réactions envers Isaac (je ne t'oublie pas Isaac), et trop mignon avec Hazel (je ne t'oublie pas Hazel).
Il a fait tellement de choses, accomplie tellement de choses, c'était horrible de savoir qu'il allait mourir. D'ailleurs anecdotes: lorsque j'ai su qu'Augustus allait bientôt être qatre pieds sous terres et j'ai commencé un autre livre pour me changer les idées. Oui, j'ai fait l'autruche.
Pour en revenir à Hazel. Je la plains, je ne la prend aucunement en pitié non, je la plains. Parce qu'elle était avec Augustus, parce qu'elle aussi est malade. Pourtant, elle est restée forte jusqu'au bout et c'est pour ça que je l'admire.
Et enfin, Isaac, ce garçon tellement attachant à qui l'on enlève la vue à cause de Monsieur Cancer qui refait des siennes. Ce garçon est courageux même quand il sait qu'il va perdre son meilleur ami. (Pleurer ne veut pas dire que l'on est un lâche).
Alors, voilà, je me suis lâchée, j'ai dit ce que je voulais dire (ou plutôt écrire). Peut être que vous allez vous demandez pourquoi est ce que je parle à ces personnages comme à des personnes bien réels. Eh bien, je dirais que j'ai toujours parler de personnages de cette manière. Et puis si c'est réel à mes yeux pourquoi est ce que je devrais changer ça?
D'avance je m'excuse si c'est un peu le bordel et que mon article n'a ni queue ni tête.
Dites-moi ce que vous avez penser de ce livre. Et, oui je sais qu'il est sortie il y a longtemps, mais un livre n'est pas censé être lu pendant une durée déterminée.
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